Je surfe
et oui, je surfe et là je peux même vous dire que je suis dans le creux de la vague et que j'ai bien du mal à me remettre sur mes pieds pour remonter au sommet de cette p..... de vague...
Et quand on est au creux de la vague, l'horizon est bouché, on ne voit pas l'avenir, tout parait sombre : on est entouré par l'eau qui nous empêche de voir autour de nous et nous cache le soleil.
Je déteste être là, au creux de cette vague. Je veux remonter au sommet !!! voir le soleil briller, faire face à l'horizon, avoir l'impression que le monde m'est ouvert et que tout est possible, dominer les choses.
Je vois plusieurs raisons à cette baisse soudaine de régime :
- je suis devenue hormono-dépendante... mentalement. J'ai toujours appelé Puregon "les hormones du bonheur". Depuis le début j'avais constaté que dès que je recommençais les piqures, mon moral remontait en flèche et je me retrouvais sans aucun problème au sommet de la vague. Oui mais voilà, ce mois-ci, c'est repos. Donc pas de piqures et bizarrement, moral qui reste en berne...
- je suis devenue hormono-dépendante... physiquement. Et oui, il faut bien avouer que pour les gens comme moi qui ont un déficit hormonal important, les picpics de Puregon ne se contentent pas seulement de nous faire ovuler (ce qui est la première chose qu'on leur demande, évidemment), mais à ma plus grande joie, elles apportent également un certain 'confort'. Inutile de rentrer dans les détails, mais vous aurez compris que je parle ici de la chère glaire.... Or, je vous garantie que ce petit confort disparait dès l'arrêt des picpics
- et pour couronner le tout, j'ai repris le boulot hier.... A la base, le cycle de pause devait tomber pendant les vacances. Oui, mais c'était sans compter les facéties de mes cycles précédents qui duraient toujours plus longtemps que prévu, jusqu'à finalement repousser mon cycle de pause de plusieurs semaines... Dur, dur de reprendre le boulot dans ces conditions. Avec un moral en berne et un esprit qui a bien du mal à se détacher de l'aventure bébé, ma motivation pour le travail reste forcément limitée...
Alors je cherche. Je cherche désespérement des raisons de motivation. Des raisons de ramer plus fort pour me remettre debout sur ma planche et remonter au sommet de la vague. Pleine de bonnes volontés, je suis entrain de peser le pour et le contre d'une visite chez l'osthéo. Je lis pas mal de truc ces temps-ci sur le forum de Doctissimo. Des copinautes qui sont allées voir un osthéo et qui en étaient contentes. Ils sembleraient que les osthéo puissent remettre tout le système reproductif en place... et que ça faciliterait de futures grossesses. Après tout, pourquoi pas ? Puisque ce cycle-ci je ne peux rien faire, pourquoi ne pas en profiter pour aller voir l'osthéo? Bon, à part recentrer mon utérus qui est complètement dévié à gauche, je sais pas ce qu'il pourra faire... Mais peut-être que c'est le petit truc qui m'aidera ?
Je ne sais pas... Je vais continuer à y réfléchir et en même temps, je continue à chercher....
Et quand on est au creux de la vague, l'horizon est bouché, on ne voit pas l'avenir, tout parait sombre : on est entouré par l'eau qui nous empêche de voir autour de nous et nous cache le soleil.
Je déteste être là, au creux de cette vague. Je veux remonter au sommet !!! voir le soleil briller, faire face à l'horizon, avoir l'impression que le monde m'est ouvert et que tout est possible, dominer les choses.
Je vois plusieurs raisons à cette baisse soudaine de régime :
- je suis devenue hormono-dépendante... mentalement. J'ai toujours appelé Puregon "les hormones du bonheur". Depuis le début j'avais constaté que dès que je recommençais les piqures, mon moral remontait en flèche et je me retrouvais sans aucun problème au sommet de la vague. Oui mais voilà, ce mois-ci, c'est repos. Donc pas de piqures et bizarrement, moral qui reste en berne...
- je suis devenue hormono-dépendante... physiquement. Et oui, il faut bien avouer que pour les gens comme moi qui ont un déficit hormonal important, les picpics de Puregon ne se contentent pas seulement de nous faire ovuler (ce qui est la première chose qu'on leur demande, évidemment), mais à ma plus grande joie, elles apportent également un certain 'confort'. Inutile de rentrer dans les détails, mais vous aurez compris que je parle ici de la chère glaire.... Or, je vous garantie que ce petit confort disparait dès l'arrêt des picpics
- et pour couronner le tout, j'ai repris le boulot hier.... A la base, le cycle de pause devait tomber pendant les vacances. Oui, mais c'était sans compter les facéties de mes cycles précédents qui duraient toujours plus longtemps que prévu, jusqu'à finalement repousser mon cycle de pause de plusieurs semaines... Dur, dur de reprendre le boulot dans ces conditions. Avec un moral en berne et un esprit qui a bien du mal à se détacher de l'aventure bébé, ma motivation pour le travail reste forcément limitée...
Alors je cherche. Je cherche désespérement des raisons de motivation. Des raisons de ramer plus fort pour me remettre debout sur ma planche et remonter au sommet de la vague. Pleine de bonnes volontés, je suis entrain de peser le pour et le contre d'une visite chez l'osthéo. Je lis pas mal de truc ces temps-ci sur le forum de Doctissimo. Des copinautes qui sont allées voir un osthéo et qui en étaient contentes. Ils sembleraient que les osthéo puissent remettre tout le système reproductif en place... et que ça faciliterait de futures grossesses. Après tout, pourquoi pas ? Puisque ce cycle-ci je ne peux rien faire, pourquoi ne pas en profiter pour aller voir l'osthéo? Bon, à part recentrer mon utérus qui est complètement dévié à gauche, je sais pas ce qu'il pourra faire... Mais peut-être que c'est le petit truc qui m'aidera ?
Je ne sais pas... Je vais continuer à y réfléchir et en même temps, je continue à chercher....